Mon cœur déconne.
Ça bat la chamade mais ça fait mal.
Il en fait des tonnes.
Il me pousse à une crise lacrymale.
Ma tête interprète.
IL faudrait qu’elle lâche l’affaire.
Ce ne sera pas la fête.
Le chemin serait plus long en arrière.
Mon cœur continue
Toujours en foutu mode alternatif.
Il me met encore à nu.
En terme de plantage, il est créatif.
Ma tête veut ralentir
Les oscillations de mon cœur tendre.
Ça ne peut qu’aboutir
A mes fous penchants polyandres.
Mes sentiments valsent
Comme des derviches tourneurs
Au bord d’une salse
Et emporte mes dernières heures.
Mon cœur n’arrête
Pas de me tourmenter joyeusement
Comme si les êtres
S’interchangeaient tel un vêtement.
Ma tête veut le tuer
Pour mettre fin à mes tourments
Que, dans une ruée,
Mon équin cœur encore ment.
Mes sentiments valsent
Comme des derviches tourneurs
Au bord d’une salse
Et emporte mes dernières heures.
Laissez-moi dormir
Pour ne plus continuer de rêver
A ce visage en mire
Dont l’absence me fait crever.
Bonjour. Merci pour vos textes qui tombent en plein dans le mille. Est-ce que vos poèmes sont répertoriés et publiés?
Bonsoir, non mais je vais y réfléchir. Merci pour la suggestion.